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Le tatoueur et son bunker

Tandis que certains bunkers albanais se font détruire, d'autres deviennent des cafés, des auberges ou des salons de tatouage.

En Albanie, on compte environ 24 bunkers par kilomètre carré – soit un pour quatre habitants. Édifiés durant les 40 ans de domination communiste, les bunkers étaient utilisés comme des outils de propagande chargés de faire profiter au gouvernement de la peur que suscite la guerre pour garder le pouvoir et éliminer l'opposition.

VICE Serbie s'est rendu en Albanie afin de rencontrer Keqi, un célèbre tatoueur local qui a installé son atelier dans l'un de ces bunkers abandonnés.